Salutations finales d'Enzo Bianchi
Ma reconnaissance s’adresse également à toutes les Églises qui ont dépêché des représentants à cette rencontre, ou nous ont envoyé des messages fraternels (cette année particulièrement nombreux). Merci aux nombreux évêques qui ont pris part à ce colloque, qui nous ont rendu visite et sont encore parmi nous, notamment le cardinal Achille Silvestrini, préfet émérite de la Congrégation pour les Églises orientales, l’archevêque Piero Marini, président du Comité pontifical pour les congrès eucharistiques internationaux et l’évêque Brian Farrell, secrétaire du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, mais également tous les autres qui ont été parmi nous ces jours.
Je dis ma reconnaissance encore aux conférenciers qui nous ont offert des interventions de grande qualité spirituelle, de grande passion intellectuelle et qui ont su maintenir vive l’attention de notre assemblée composée de plus de 220 personnes durant tous ces jours.
Des remerciements encore aux membres du comité scientifique , en particulier au père Michel Van Parys, qui nous est proche depuis toujours, non seulement pour ces colloques, mais également pour la vie de notre communauté et qui m’aide à titre personnel par sa sagesse et son discernement.
Aux moines et aux moniales d’Orient et d’Occident, avec lesquels nous vivons une sincère communion dans la même persévérance à la suite du Seigneur, je dis un merci particulier, constatant que leur nombre croît d’année en année : à ce colloque, plus de soixante sont présents, et je suis particulièrement heureux de cette solidarité qui se manifeste. Le monachisme, vous le savez, ne traverse pas de bons jours en Occident ; oui, en Occident, le monachisme connaît des jours un peu mauvais : partout il y a un état de faiblesse pour le monachisme, inversement à ce qui se produit dans les Églises orthodoxes, où le monachisme montre au contraire une grande vitalité. Nous comptons vraiment sur cette solidarité, sur cette fraternité des moines orthodoxes et nous voudrions que, dans l’échange réciproque des dons, un printemps soit possible pour le monachisme d’Occident également.
Mes remerciements encore pour les interprètes, nombreux cette année, et pour le technicien de salle Gianpaolo Rampoldi, pour les amis qui reviennent fidèlement, pour ceux qui font connaître et accompagnent ces rencontres par la prière ; et merci à vous tous, qui avez partagé avec nous ces journées, cet échange des choses qui nous tiennent à cœur, qui sont les choses de Dieu, et non les nôtres.